La Québécoise

Notre cinquième destination était le restaurant La Québécoise. Un endroit difficile à manquer sur la Promenade Ontario avec ses grandes bandes oranges et blanches sur le bâtiment.

Le moment comique de notre passage à ce resto est qu'une de nos compagnons à demander à la serveuse si elle était "la" québécoise. Elle a répondu que non puisqu'elle était portugaise. Très drôle!

Une fois de plus, je pris un cheeseburger.

Il était bon mais ni plus ni moins. Rien pour devenir fou et encore moins pour éviter l'endroit.

Trouvant qu'un quatrième burger n'était pas assez, je décidais de prendre une poutine pour ajouter à mes calories en trop de la journée.

Que dire de la poutine de La Québécoise? Qu'elle est très bonne et même plus intéressante que le burger.

Comme vous pouvez le voir sur la photo, il y a un très bon ratio frite, fromage et sauce.

En tous les cas, La Québécoise est un «spot» pour la poutine et les déjeuners pas chers. Aussi, la serveuse était comique quand elle regardait notre groupe avec un air bizarre.

La Belle Place

La Belle Place est notre sixième et dernier restaurant de la journée. Nous sommes cinq valeureux sur une douzaine qui ont survécu à cette route de la viande.

Je commande donc mon cinquième cheeseburger et une bière pour célébrer ce marathon.

Je suis content d'avoir pris une bière puisqu'elle me permet de noyer ma déception face à mon burger.

J'en ai juste mangé une bouchée tellement que ce cheeseburger était ennuyeux par rapport aux précédents que j'avais mangé. Il y avait une maudite boulette congelé.

Ark!!

Par contre, la force de la Belle Place n'est pas dans les burgers mais bien dans la poutine.

J'en commande à l'occasion et je suis toujours satisfait. Elle est délicieuse et a un bon prix pour une bonne assiette.

Alors, on n'hésite pas à retourner à la Belle Place mais seulement pour sa poutine. Oh que oui!

Aussi, j'adore le "logo" du restaurant où l'on voit un chef qui offre une assiette bien chaude et délicieuse à une famille. Ça ressemble plutôt à un chef qui fait cuire une famille dans un chaudron de sauce tomate.

Je ris à chaque fois! Héhéhé!

En conclusion de ce marathon du burger, le meilleur endroit était chez Michelle BBQ suivit de près du Roi de l'Ontario. Pour ce qui est de la meilleure poutine sur la Promenade Ontario c'est la Belle Place, le Roi de l'Ontario et la Québécoise.

Bonne bouffe!

Ceci est mon 200e billet.

Comme le titre le dit si bien, ceci est mon 200e billet.

Pas pire, hein?

Je me trouve pas mal bon.

Par contre, au risque de vous décevoir, je n'ai pas fait 200 places à burgers et/ou à patates. Juste 121 (jusqu'à maintenant). C'est quand même une bonne moyenne au bâton.

Oui, Jacques.

Sachez que je mets des liens Internet débiles et utiles sur la page Facebook de Fast Food Fred.

Je donne parfois signe de vie sur Twitter en répondant aux questions existentielles de Bon dans Yeule.

J'ai aussi un ami qui a décidé de faire un bloque sur les céréales.

Malade!

Mais son nom ce n'est pas Réal. (La pognez-vous?)

Tout ça pour dire que c'est mon 200e billet. (Vous le saviez, c'est dans le titre.)

En attendant le prochain billet de burger, je vous souhaite bon appétit.

(Menoum!)

Pause Burger [21]

Fatburger; Los Angeles, California(USA).

Photo de Kevin Meredith

La Belle Bédaine

Durant un «road trip» sur la 148 en direction de Gatineau, j'ai fait un arrêt au casse-croûte La Belle Bédaine.

Cet endroit existe depuis plus de 25 ans et avant c'était une cantine dans une roulotte.

J'ai donc essayé leur hamburger Bédaine fromage.

On y retrouve une bonne boulette de viande fait maison, du fromage, des oignons rouges, de la salade frisée, des tomates, de la relish et de la moutarde.

Le burger dans son ensemble est bien bon: une bonne viande bien tendre et pas trop cuite, un bon pain moelleux et pas trop de condiments.

Une belle découverte.

Je n'ai pas essayé la poutine mais les frites étaient excellentes: pas trop grosses, bien croustillantes.

Un vrai délice.

En conclusion, ce fut une belle trouvaille à Montebello que ce casse-croûte. Bonne bouffe, bon service et une belle vue sur la rivière des Outaouais.

Bonne visite et bon appétit.

Cantine à Pécaudy

Une fois de plus, les ventes de garage m'ont entraîner vers la ville de Contrecoeur. Jusqu'à maintenant, je n'ai pas réussi à trouver un bon burger mais peut-être qu'aujourd'hui ça sera mon jour de chance avec la Cantine à Pécaudy.

C'est ce qu'on va voir...

C'est dans le parc Antoine-Pécaudy que ce situe cette fameuse cantine.

Au bout d'un certain temps, je réussi à avoir mon cheeseburger. Parce que malgré l'équipe qu'il y a dans la cuisine, le service n'est pas très rapide.

Le burger a un beau look extérieur mais il y a une surprise à l'intérieur.

Mon ami Gilles, me fait remarquer que sa boulette est en forme de coeur. Je remarque l'intérieur de mon burger et ma boulette aussi a une forme de coeur.

Quelle attention ridicule... Parce que ce n'est pas tout le monde qui va vérifier l'état de sa boulette avant de manger son hamburger.

Pour ce qui est de la petite histoire de cette ineptie culinaire, la voici: il y a cinq ans la cantine servait beaucoup les ouvriers qui travaillaient sur un projet résidentiel à proximité. Ces derniers n'arrêtaient pas de dire à la propriétaire à quel point elle y mettait du coeur dans ce qu'elle faisait.

C'est donc 1+1=3 qui c'est passé dans sa tête et elle a commencé à faire ses fameuses boulettes en forme de coeur.

C'est une bien belle histoire mais c'est le genre de truc qui aurait dû durer seulement le temps d'une journée et ça fait cinq ans de ça...

Elle devrait arrêter de jouer avec les boulettes et s'arranger pour ne pas trop les cuire. Le burger serait meilleur.

Par la suite, j'espère oublier mon burger avec cette poutine.

La poutine est comestible mais la sauce n'est pas la meilleur au monde.

Loin de là.


La seule de drôle dans cette cantine (parce que le reste est à pleurer), c'est la banane congelée trempée dans le chocolat.

Il manque juste les morceaux d'arachides et c'est comme dans la série télé américaine «Arrested Development».

En tous les cas, ce n'est pas dans cette cantine que j'ai pu trouvé un bon hamburger à Contrecoeur.

Il y a une autre chose qui devrait être amélioré et c'est l'exactitude des commandes prises. Puisque sur quatres commandes, trois comportaient des erreurs en plus de subir la lenteur du service.

Heureusement, qu'il n'y avait pas foule et je crois pas que ça puisse arriver...

Déli Capri

Autrefois, j'habitais à quelques rues du restaurant Deli Capri. Ouvert 24 heures, cet endroit devenait un bon prétexte pour ne pas faire la cuisine.

Le plus intéressant, c'était aux petites heures du matin à la fin des bars où la faune étaient très divertissante.

Le décor aussi est très intéressant: du beau bois, des grands miroirs et ces mini jukebox à chaque table qui fonctionne à coup de 25 cennes. Un bon moyen pour écouter du Roy Orbison.

Mais au délà du look et de ses clients, c'est surtout un delicatessen qui offre un menu complet: mets italiens, canadiens, chinois et smoked meat. D'ailleurs, de la façon que le smoked meat est coupé chez Capri, il est aussi bon que chez Schwartz's.

Pour cette fois-ci, j'ai mangé mon habituel cheeseburger et poutine.

D'abord pour le cheeseburger, la boulette est faite de viande fraîche et cuite à point. Le fromage est bien fondu et le pain est légèrement cuit avec un peu de beurre.

Ce qui donne en bout de ligne un excellent cheeseburger.

Pour finir, j'ai dégusté la poutine.

Les frites sont excellentes et la sauce barbecue est délicieuse mais le fromage râpé est décevant.

Pas mauvais mais décevant que ça ne soit pas du fromage en grain. Parce que ce dernier ajoute de la texture à la poutine. Sinon, ce sont des frites avec un sauce barbecue-fromage.

En conclusion, le restaurant Deli Capri offre son menu varié depuis 1967 au coins des rues Rosemont et De Lorimier.

Les serveuses sont sympatiques et la nourriture est bonne. Quoi demandez de mieux?

Juste du fromage en grain dans la poutine.

C'est tout.